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Pourquoi voyager avec ses enfants ?
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Nous retournerons à Malte… for sure !
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Hué au Vietnam : notre balade impériale en famille
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Nos voyages avec enfants en 2015
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Notre coup de coeur pour le Magne, dans le sud de la Grèce
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Nos p’tites galères de vacances

Vous êtes nombreux à suivre nos aventures sur le blog et certains me disent avoir l’impression que nos vacances semblent toujours idéales : les enfants sont super sages, le soleil est au rendez-vous, nous partons tout le temps… Oui, nous avons beaucoup de chance et nous nous en rendons compte. Mais je vous rassure, des loupés, nous en avons aussi ! Alors avec Sandrine du blog Voyages et enfants, nous avons eu l’idée de vous raconter et de vous faire raconter les dernières galères de vacances ! Le voyage en famille, ça nous connaît bien mais nous voulions vous montrer que parfois tout ne se passe pas à merveille…

Particulièrement cet été, nous avons eu notre dose de petites galères ! A tel point que de mon côté, je ne vais pas me contenter de vous raconter une seule mésaventure mais trois bonnes galères de nos vacances estivales !

Nos p'tites galères de vacancesPanneau croisé en Norvège cet été ! Cette galère-là est à éviter absolument !!!

1ère galère : la perte des billets de train !

La veille de notre départ pour la côte atlantique où nous avions prévu de parcourir la Vélodyssée en famille de La Rochelle au Cap-Ferret, je me rends compte que j’ai perdu les billets de train ! Mais pourquoi ne pas avoir acheté des billets électroniques ? Et bien, figurez-vous que pour réserver une place pour son vélo dans un TGV, il est hélas impossible de réserver en ligne. Il faut nécessairement se rendre au guichet, à l’ancienne. J’avais acheté nos billets trois mois avant à très bon prix, sauf que j’ai dû les laisser sur le bureau sans les ranger et que je les ai certainement jetés en faisant le ménage, oubliant que j’avais des billets version papier. Résultat : la veille de notre départ, j’ai dû tout racheter à des prix très élevés, en première classe. La ruine ! Grâce à vous qui m’avez encouragée à faire des démarches auprès de la SNCF, j’ai obtenu le remboursement de nos billets « Paris-La Rochelle » mais pas ceux du retour « Arcachon-Paris » car informatiquement, il semblerait que cela dépende des destinations. Évidemment c’est mieux que rien mais sachez que le billet remboursé est le billet d’origine (qui n’était pas cher) et non le second billet acheté… Bref, une affaire coûteuse qui nous a fait choisir de dormir plus souvent au camping que nous l’avions prévu. Chère SNCF, à quand la réservation des emplacements vélos par internet ?

Nos p'tites galères de vacances

2iè galère : la tempête au camping à Cap-Ferret !

Justement, au camping, nous n’y serions pas allés, si je n’avais tant dépensé à cause de mon histoire de billets de train. Et ce soir-là, il aurait vraiment fallu éviter de dormir sous la tente ! Nous sommes arrivés vers 19h au camping du Truc Vert. A la réception, nous entendons de jeunes allemandes demander à la propriétaire si elle a des informations sur l’orage qui vient d’être annoncé aux infos. Déjà, je m’inquiète. Quel orage ? Il fait encore tellement beau ! Nous montons la tente, nous dînons, nous couchons les enfants et soudain le vent se lève et il se met à pleuvoir. La pluie s’intensifie, le vent devient impressionnant, je commence à avoir sérieusement peur que des objets lourds s’envolent et tombent sur nous. Et justement, c’est à ce moment-là que le vélo de mon mari part sur une dizaine de mètres et tombe violemment sur la tente, à quelques centimètres des enfants ! Là, je suis tremblante, je me mets par-dessus Ticoeur et Titpuce pour les protéger. Eux dorment paisiblement malgré le vacarme d’énormes grêlons ! Mon mari essaye de retenir la tente de toutes ces forces tant le vent est violent. Bref, nous sommes en mode catastrophe-naturelle et je ne fais pas la fière ! Je remercie les blogueuses de Bordeaux qui m’ont donné des informations en live sur Twitter puisqu’elles avaient les détails des alertes météos à la télé. Vers minuit, la tempête s’est calmée et nous avons pu dormir sans craindre de nous envoler ou de recevoir quelque chose sur nos têtes. Que d’émotions !

Nos p'tites galères de vacancesAvant la tempête…

3iè galère : crevaison en Norvège !

Au mois d’août, pour nos deux semaines dans la région des fjords, tout s’est bien passé jusqu’à l’avant dernier-jour. Là, alors que nous sommes dans une petite ville près de Stavanger, en touchant le trottoir dans un tournant, nous crevons un pneu et nous nous retrouvons complètement à plat en quelques secondes. Dans le coffre, pas de roue de secours ! Nous appelons notre agence de location en demandant que faire et là, ils ne nous expliquent pas qu’à la place d’une roue de secours, nous avons un kit anti-crevaison bien caché dans la voiture. Ils nous disent qu’il n’y a aucune autre solution qu’appeler la dépanneuse. Cette dernière arrive au bout d’une demi-heure (au moins c’était efficace !) et nous emmène au garage Peugeot afin qu’on nous remplace la roue. Le garagiste nous soutient que le kit crevaison n’aurait servi à rien car le pneu est trop endommagé donc pas de regret pour la dépanneuse. Quand nous rendons la voiture le lendemain, on nous explique que seules 30% des voitures de location ont une roue de secours et qu’il faut donc en faire la demande spécifique à la réservation. Nous y penserons pour la prochaine fois ! Pour l’instant, nous n’avons pas encore reçu la facture liée à notre crevaison. Nous nous attendons à 600€ environ.

Nos p'tites galères de vacancesL’essentiel en cas de crevaison est de rester zen !

 

Racontez-nous vos galères de vacances et tentez de gagner le guide Voyager avec ses enfants du Lonely Planet !

Maintenant, je vous propose que vous aussi vous nous racontiez la plus grande galère de vos vacances (de cet été ou d’avant). Ainsi, nous nous sentirons tous moins seuls ! Pour cela, si vous avez un blog, vous pouvez écrire un article avant dimanche 5 octobre à minuit en précisant que vous participez au thème « Nos p’tites galères de vacances » de nos deux blogs (n’oubliez pas de laisser le lien de votre article dans les commentaires). Si vous n’avez pas de blog, vous pouvez nous laisser à Sandrine ou à moi-même le récit de votre mésaventure en commentaire. Parmi tous les participants résidant en France métropolitaine, deux seront désignés et remporteront un livre très utile pour éviter les galères en famille, le guide : Voyager avec ses enfants du Lonely Planet. Dans ce livre très utile, vous retrouvez des idées de destinations et des conseils pratiques avec 80 fiches-pays pour voyager sereinement avec vos enfants.

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Vos petites galères :

Oubli du permis de conduire chez Balades Réunion et ailleurs

Que de p’tites galères chez Les aventures d’Arthur et Thibaut !

Petites galères en Nouvelle-Zélande chez La Grande Déroute

Grosse crevaison chez Madame Parle !

Crevaison vélo en Bavière pour Voyages et enfants

***

Edit du 6 octobre : Les 2 personnes qui remportent le guide Voyager avec ses enfants sont : Carole M et Virginie (d’Arthur et Thibault)

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anecdote de voyage, les petites galères du voyage avec enfants, voyage avec enfants

25 réponses à “Nos p’tites galères de vacances”

  1. Bonjour,
    je n’ai pas de blog mais 2 petites filles quand même que j’emmène en vacances :). Je participe avec plaisir à ce concours. Notre plus grosse galère ne s’est pas passée bien loin. Dans la jolie ville du Puy en Velay où nous avions décidé de passer le weekend de Pâques. Ma grande avait alors 18 mois et avait 39 de fièvre depuis 24h. Difficile de trouver un médecin de garde en ce weekend prolongé. Pour qu’elle soit vue rapidement par un médecin, nous sommes allés directement au urgences… où nous sommes restés 5 heures!!! L’interne qui l’a vue lui a trouvé la gorge un peu rouge et a demandé une analyse d’urine qui a été pratiquée sans règle d’hygiène minimum, d’où un résultat faussé. Elle a eu droit à une prise de sang ainsi qu’une radio des poumons (pourquoi? JE NE SAIS TOUJOURS PAS). A 11 heures du soir, ma fille, fiévreuse était à bout de nefs, moi en hypoglycémie et nous ne savions toujours rien. On nous a fait monter en pédiatrie pour la nuit. Le lendemain, elle n’avait plus de fièvre, les nouveau examens pratiqués ont révélé qu’elle avait UNE SIMPLE ANGINE!! Et nous sommes sortis dans la journée. C’était nos premiers pas de parents inexpérimentés et affolés que notre bébé soit malade ailleurs que chez nous. Elle a quand même eu droit à un sachet de chocolat offert au enfants par le service. C’était le dimanche de Pâques!
    Belle journée!

  2. En lisant le mot crevaison, je ne sais pourquoi j’ai cru que vous étiez encore en vélo. Car crever en vélo, c’est vraiment terrible. On a testé (3 fois), à deux reprises un autre cycliste nous a réparé l’ensemble, la troisième fois, nous avons du prendre un taxi pour rentrer, alors que nous n’étions qu’à 5km de l’arrivée (mais avec une petite fille épuisée et affamée pour faire le trajet à pied).

  3. Je participe avec une belle galère lors de notre premier vol avec notre fils de huit mois à l’époque. Nous allions à Madère et notre avion a été dérouté juste avant l’atterrissage pour cause de tempête violente et de fermeture de l’aéroport. D’un vol qui devait durer trois heures, on est passé à neuf, dont au moins deux hyper turbulentes. A la fin du vol, nous n’avions plus de couches, plus de biberons pour notre fils, dont la couche avait débordé. On a été logés dans un bel hôtel à Porto pour la nuit et on est repartis le lendemain. Mais moi qui n’aime pas l’avion, j’ai vécu une apothéose.

  4. Ah les galères de vacances, finalement, c’est ça qu’on raconte en premier à la famille et aux amis en arrivant. En voici une belle, nous n’avions pas encore ma fille mais je pense que c’est celle qui m’a le plus marquée… depuis, je suis phobique des avions!
    Alors, nous étions partis en amoureux, pour mes 23 ans, à New York, pour 15 jours. La veille du départ, nous organisons notre retour : alors pour aller prendre le bus, il nous faut XX minutes, puis en bus pour aller à l’aéroport, il nous faut XX minutes, et il faut qu’on y soit au moins 2 heures avant le décollage… Bon, mettons le réveil bien en avance. Quand nous nous réveillons, je vérifie les billets…. « Ah, mais…. on ne décolle pas du même aéroport… comment fait-on pour y aller… ah mais c’est beaucoup plus loin, et la navette, mais aussi c’est plus loin…aaaahhhh…viiiiite ». Bon, bref, grosse panique…on court, on regarde notre montre, on court, on regarde notre montre, on attrape le bus (mais vite chauffeur, vous ne voulez pas allez plus vite), on saute dans la navette (ben oui, parce que notre terminal, il faut y aller avec une navette, sinon, ce ne serait pas drôle)… on arrive devant l’enregistrement, on est (presque) à l’heure…. l’enregistrement est encore ouvert, super! …. euh, non, pas super : l’hôtesse nous explique gentiment que comme nous n’avons pas confirmé notre vol sur internet, nous ne sommes plus enregistrés sur le vol et que maintenant, il est complet… « Euh, comment ça complet? »…. « Vous n’avez plus aucune place? » (et mon amoureux qui ne parle pas anglais et qui ne comprend donc pas, qui me voit me décomposer et qui me demande sans cesse mais qu’est-ce qu’il y a???…argh)… Non, il n’y a plus de place…!! Il faut qu’on s’achète un nouveau billet…! C’est alors que je fond en sanglot, je me mets à pleurer, pleurer, pleurer … l’hôtesse essaye de me consoler. Mon amoureux essaye de me consoler. Mais là, trop c’est trop…. alors, l’hôtesse me dit alors qu’elle va aller chercher son boss pour voir si on ne peut pas faire quelque chose. Le boss arrive, on lui reexplique, qu’on ne savait pas qu’il fallait confirmer, qu’on ne peut pas repayer un billet, que là, c’est vraiment la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Et comme l’enregistrement vient de fermer, et qu’il reste finalement 2 places… il décide gentiment de nous mettre finalement sur le vol. Youhou, champagne!! Mais, le temps de parlementer, de pleurer, de rencontrer le boss, de reparlementer, d’enregistrer les bagages…. il faut vous dépêcher, car dans 15 minutes, ils ferment les portes. « Et c’est où l’embarquement? »… de l’autre côté du terminal… « Ah d’accord » … Alors, j’ai séché mes larmes et on a couru, vite.. mais il faut d’abord passer la sécurité…. et ça prend des plombes aux Etats-Unis… et on a couru… on a regardé nos montres…. mais viiiiite! Et on est arrivé les derniers dans l’avion… moi en pleurs, mon amoureux essayant de me consoler, expliquant à l’hôtesse de l’air ce qui se passe (en baragouinant plutôt)… et elle, trop trop sympa, déplace un voyageur pour qu’on puisse être ensemble. Bon, là je me dis, on a donné comme galère, maintenant, plus que 7 heures et on est à la maison…! Mais non, c’était sans compter Barack Obama qui venait célébrer l’arrestation de Ben Laden à New York… et un embouteillage monstre sur le tarmac… et un avion qui ne décolle pas avant 2 heures… oui, oui, 2 heures dans l’avion à attendre… sachant qu’ensuite, on a encore 7 heures de vol.. comment dire…arghh et re-arrghh!
    Maintenant, je suis un peu (beaucoup) phobique de l’avion. Je vérifie douze mille fois mes billets, nous arrivons des heures et des heures en avance, et je suis toujours hyper stressée pendant tout le voyage!

  5. merci, je tente! je n’ai pas de blog donc c’est en commentaire que je vais vous raconter la pire galère de mes vacances!
    « Normalement, je pars seule en routarde depuis 10 ans au bout du monde et il ne m’arrive JAMAIS rien (je touche du bois!). Mais en mars 2012, je décide d’inviter ma mère de 60 ans à voyager avec moi au Pérou car elle aussi souhaite cette année-là découvrir les voyages en routardes! Nous partons donc à 2 avec nos sacs à dos. Les premiers jours se passent à merveille. Mais, voulant aller à Nazca pour survoler les lignes en hélicoptère et continuer notre route vers Arequipa, là un bus nous dit que c’est impossible car il y a des manifestations violentes dans la ville à cause de la hausse du prix du pain. Téméraires, nous décidons quand même d’y aller en payant un taxi et en embarquant un autre couple avec nous. Là, le taxi nous laisse à 10 kms de la ville car il y a déjà des barrages. Faire 10 km avec un sac à dos de 10kg, je ne pense pas que c’était l’idée du mot vacances pour ma mère! 😉 mais le pire nous attendait, nous sommes tombées en pleine guerre civile à Nazca avec des jeters de pierres et de bâtons sur les touristes, l’armée nous a prises en charge et nous a parquées dans un hangar. Nous avons attendu 1 journée entière dans le hangar mourant de soif et de faim. A la nuit tombée, les militaires nous ont exfiltrés en bus car la situation dégénéraient trop vu que les manifestants lançaient à ce moment-là des bâtons de dynamite! Bref, une grande peur et ma mère raconte tout le temps cette histoire de bâtons de dynamite et ne me croit plus maintenant quand je lui dis que je ne risque rien à l’autre bout du monde! »

  6. Trop facile, la dernière galère est trop énorme pour pouvoir l’oublier. nous qui adorons voyager, cet été nous n’avons pu partir que 8 jours (achat maison/ travaux: déménagement..). Nous sommes partis en camping sur l’Ile de Ré bien décidés à profiter de ces quelques jours! Sauf qu’au bout de 4 jours j’ai du être hospitalisée et opérée à l’hopital de la Rochelle pour une ablation en urgence de la vésicule!! Les enfants et mon chéri ont tentés de profiter du reste du séjour, mais on est tous les 4 rentrés bien déçus!!

  7. Ici aussi les gens me disent toujours que nos vacances ont toujours l’air paradisiaque… En effet je préfère raconter les bons souvenirs que les mauvais.
    Menfin quand même lors de nos vacances en Martinique, en avril dernier, nous étions près à décoller pour rentrer en Metropole quand le pilote a annoncé qu’il avait un voyant rouge qui s’allumait et qu’il préférait retourner au parking faire les contrôles nécessaires. Ca devait prendre 15 minutes. 3h plus tard, l’avion était toujours en panne, il fallait attendre une pièce de rechange qui arriverait de Paris le lendemain après-midi. Ils ont débarqué les 533 passagers dans l’aérogare, il était 23h, ils ont annoncé qu’ils n’avaient que 25 chambres d’hôtel et que l’équipage et les Business Class étaient prioritaires. Donc nous nous sommes installés dans un petit coin de l’aéroport pour passer la nuit. J’étais enceinte de 2 mois, mon fils de 3 ans dormait dans nos bras depuis le début et ma fille de 6 ans trouvait ça très rigolo ce camping improvisé. Impossible pour moi de fermer l’oeil et à 3h du matin, nous avons réussi, avec 2 autres familles, à obtenir 3 chambres d’hôtel. On a dormi à 4 dans le lit et passé la journée du lendemain dans le hall à attendre. Retour finalement avec 24h de retard, juste à temps pour reprendre un avion dans l’autre sens pour le boulot… Mes collègues ont trouvé que je n’avais pas l’air très reposée de mes vacances… 🙂

  8. bonjour,
    la première fois que mon petit Tom a pris l’avion, il y a deux ans, il venait d’avoir 3 ans… et était propre depuis 6 mois. sauf que, au bout d’une heure de vol (on allait à Djerba, il me dit, « maman j’ai fait pipi dans mon slip ».
    ben on a fait comme si de rien n’était… ;-(
    je n’ai pas de blog.
    à bientôt.

  9. Bonjour,
    suis soulagée de voir que je ne suis pas la seule …
    L’an dernier, voyage à Stockholm avec loulou, encore en écharpe de portage .. Au retour, le billet (papier) indique d’être présent 30 minutes avant le décollage …
    Après avoir traversé la totalité de l’aéroport avec mon énorme bagage et mon fils en écharpe un peu trop tôt le matin pour rejoindre la porte d’embarquement d’un voyagiste low cost, j’y parviens 42 minutes avant l’embarquement. Et là, on me refuse l’entrée parce qu’il est stipulé sur les conditions de vol du site qu’il faut être présent 45 minutes avant (sic!)
    j’en ai pleuré …. et suis restée face à des personnes de marbre qui m’ont fait croire jusqu’au décollage que mon fils et moi pourrions entrer dans l’avion.
    Résultat : arrivée à la maison environ 18 heures plus tard avec deux vols et 400 euros en moins ….
    dur, dur

    Merci pour ce concours et le blog en général !

  10. Bonjour,

    D’abord super le blog, je me renseigne sur les voyages avec des enfants, et ça fait plaisir de voir qu’on est pas obligé de se cantonner à la sacro-sainte Côte d’Azur l’été et au ski l’hiver avec des enfants!
    Je voyage rarement, mais cette année je suis partie (seule) rejoindre mon frère et ma mère en Haïti. Mon précédent voyage en avion datait de plus de 10 ans, mais j’en avais gardé un très mauvais souvenir car mes oreilles supportent mal la pression, je m’étais même évanouie à cause de la douleur après l’escale, et j’avais gardé les oreilles bouchées 3 jours à l’arrivée!!!!! Je choisis un vol direct, plus cher certes mais moins de risque.
    Donc je prévois le coup, chewing-gum, boules quiès spéciales, exercices de respiration… On décolle et ça se passe plutôt bien, je me détend, et suis le vol sur les écrans. Je remarque qu’on ralentit et qu’on stagne. Le capitaine de bord prend la paroles et nous annonce que l’avion est détourné!!!! Panique totale, rapidement calmée quand il nous dit que c’est pour évacuer un passager malade. On fait léger un détour – 3h! – au Portugal, sans avoir le droit de sortir, puis on redécolle, et là rien à faire, chewing gum, boules quiès, mouchoirs imbibés d’eau chaude, exercices de la mâchoire, la pression augmente et j’ai l’impression que ma tête va exploser. Je termine le vol en alternant paracétamol et ibuprofène.
    Résultat, un mal de crâne de 2 jours (mais les oreilles se sont débouchées), 6h de retard, si j’avais su j’aurais pris une compagnie américaine, j’aurais économisé 200€ et j’aurais pu voir New-York au lieu du tarmac de Lisbonne!

  11. Bonjour !

    Pas de blog pour moi….alors ce simple commentaire !

    Il y a 2 ans, pour mes 30 ans, mon amoureux m’a offert un WE à Stockholm… <3
    Nous y étions allés tous les 2 quelques années avant, l'été, et là nous allions pouvoir découvrir la beauté de la ville, sous la neige, ET accompagnés de notre louloute qui avait 20 mois à l'époque.

    Alors…on ne peut peut être pas parlé de "galère" avec le recul….mais moi j'ai commencé mon séjour les larmes aux yeux, la boule au ventre…parce qu'il nous manquait une valise à l'arrivée…..et, je ne sais pas pourquoi, nous n'avions pas mixé les affaires.

    Evidemment….c'est celle de Prune qui manquait ! Fringues, couches, gigoteuse, lait……
    Alors on nous dit qu'elle arrivera par le vol suivant…puis le lendemain..puis livrée 48h après….bon…pas de suspens…on l'a récupérée à l’aéroport…juste avant de repartir en France…elle était partie au Japon !
    On a eu de la chance parce qu'il faisait très froid en France à ce moment là, dc notre poulette est partie avec son anorak sur elle, ses après ski…on avait ds le bagage à main qqs couches, du lait…..et chanceux parce que là bas les supermarchés ferment à 22H, le H1M était ouvert le dimanche.
    Elle ça ne l'a pas du tout perturbée….elle a dormi en pull et non en gigoteuse…Nous ça nous a un peu stressé de relancer la compagnie tous les jours et d'attendre en vain…mais on a quand même passé un excellent week end là bas tous les 3, avec de super souvenirs…et un "petit" point noir !!

    Désolée pour le roman…je ne sais pas faire court ! 🙂

    Merci pour ce chouette concours.

    • Juste pour compléter….
      Un peu de stress, de l’orga, des coups de fil…
      Mais au final, on a tout récupéré et été remboursé de toutes les dépenses engagées en plus ! (vêtements, surplus pour l’appartement car arrivés plus tard, taxi, factures de tel…)

  12. Alors il est trop tard pour jouer (il faut vraiment que je me l’achète ce guide !) mais bon, je ne résiste pas à l’envie de replonger dans nos petites galères de voyage 😉
    Avant notre Loulou : j’hésite entre (1) tomber sur un hôtel en Tunisie, soit-disant 5 étoiles, complètement délabré (trous dans la toiture, chambre sans chauffage et sans couvertures, piscine sale, nourriture atroce …) lors de la semaine la plus pluvieuse et froide qu’ait connu la région depuis de nombreuses années (2) l’oubli de ma CB lors de notre voyage en Inde du Sud (obligée de réclamer des sous à mon homme pendant 2 semaines 😉 ), (3) la valise de mon homme perdue à l’arrivée à l’aéroport de Tokyo lors de notre 1er voyage au Japon et (4) Fukushima 1 semaine avant notre départ pour notre 4e voyage au Japon (et là évidemment c’est une galère ridicule et juste anecdotique à côté de ce que ces gens ont pu vivre !) …
    Avec notre Loulou : on a le choix entre (1) l’arrivée d’un cyclone lors de notre arrivée à La Réunion alors que l’île n’en avait pas connu d’aussi important depuis 6 ans, (2) lors de notre départ pour la Thaïlande notre avion qui roule sur le parking de l’aéroport à Paris pendant 1h car une passagère s’est perdue dans l’aéroport alors que son bagage est bien en soute (et donc faire tenir un enfant de 2 ans, surexcité par le voyage, assis attaché sur son siège alors qu’on n’a pas encore décollé et que c’est l’heure de la sieste pour lui …) et (3) au retour de Thaïlande, tomber sur la seule et unique rangée dans l’avion dont les écrans vidéos ne fonctionnent pas, pendant 12h de vol donc …

  13. Déterrage du site…. 2014-2022 bien que les années ont passé je pense que c’est bien que tout le monde puisse raconter ses galère de vacances car souvent on est au bout du rouleau…

    Je prends mon exemple et malgré que mes vacances ne font que commencé j’ai toujours l’angoisse….

    Départ samedi matin 30 juillet , le trajet ses déjà très mal passé, je suis le seul à conduire et j’ai pas beaucoup dormi car juste avant de partir j’ai travaillé en poste de nuit…
    Entre les bouchons sur l’autoroute, les airs de repos blindé, j’ai fait 2 arrêt de 10min pour 8h30 de route avec ma femme, mon fils de 20mois et 2 chiens.

    Arrivé sur place samedi 14h30, c’est pas comme je l’imaginais, bref je fais impasse sur ça et je relativise, je vois l’océan Atlantique et c’est bien, je monte les premiers valise et là le drame, un morceau de la marche d’escalier qui casse et viens se loger dans mes sandales, résultats, je suis tombé dans les pommes en voyant la blessure, du sang partout, je me suis taillé le gros orteil jusqu’au tendons rétracteur, les pompiers sont venus me chercher, 7h d’attente à l’hôpital de Challans, 5 point de souture et 100€ de taxi pour retourner à la location….

    Dimanche matin, je cherche une solution car je n’arrive presque pas marché, la plage mets interdite, je veux jouer avec mon fils dans le sable, je vais jusqu’a mettre un préservatif sur mon pieds avec une chaussette sa marche mais bon sa fait mal…

    Le superU est ouvert un dimanche génial, oui mais….

    Je prends la voiture, je sers les dents pour conduire avec mon orteil suturé, arrivé sur place du monde comme si c’était un festival…. On doit passer un portique de maxi 2metre de haut en voiture,pas de bol ma voiture avec le coffre de toit fait 2m05, merci au gens du voyage qui on soulever la portique….

    Dimanche soir, je sors les chiens avec ma femme et mon fils, je galère car le plus gros veux aller dans l’eau, je le lâche car j’étais seul, et il va joué dans l’eau avec les vagues, ma femme joue avec mon fils dans les petites vagues , moi je reste à l’écart avec la poussette et le petit chien peureux de la plage…

    Tout se passe bien jusqu’à que le plus gros chien sort de l’eau et tombe à ne plus vouloir se relever….

    Je vais voir se qu’il se passe et je vois qu’il souffre de la patte arrière, oh p****n la galère, je suis sur la plage à marais basse, je cherche une solution, et la seule que je trouve c’est de le mettre dans la poussette de mon fils, je le porte, je souffre avec la blessure au pied, je met le petit chien avec , mon fils sur mes épaules ma femme qui m’aide à pousser la poussette et on avance mètre par mètre dans le sable, arrive à l’appartement, 2eme étage, m’a femme rentre avec mon fils et le plus petit chiens, je prends du courage et la je soulève mon chien plein de sable , je le porte comme un sac à patate… Entre pleure engueulade vomi le chiens qui m’urine dessus car il peut plus se lever, je pleure de pression.

    Aujourd’hui lundi, j’appelle le véto, rdv 14h…

    Quelle galère après ça ? Je rentre seulement le samedi 6 août

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