Je sais, cela fait déjà pas mal de temps que je vous ai promis une liste de ressources en anglais pour vous aider à entretenir la langue de Shakespeare et j’ai pris beaucoup de retard car vous savez quoi ? J’ai trop de choses à vous recommander ! Alors, j’ai décidé de découper mes coups de cœur anglais en trois parties : séries, films et livres. J’avais déjà partagé avec vous nos idées lecture d’auteurs anglais pour les enfants. Il est temps que je m’occupe des parents !
Voici donc les séries anglaises que je vous recommande afin de découvrir l’Angleterre, son Histoire, ses paysages et pratiquer votre anglais bien sûr ! Car plus vos oreilles entendront la langue, plus vous progresserez ! Donc bien évidemment, il s’agit de regarder ces séries en VO. Si vous le pouvez, le mieux est de rajouter les sous-titres en anglais mais si votre niveau ne vous le permet pas encore, alors OK pour les sous-titres en français. Seule la version doublée est strictement interdite :-)…
Downton Abbey (de Julian Fellows) : entre la beauté de la langue parlée par les acteurs, l’architecture de la demeure, les manières, les paysages et la lumière, cette série est un vrai plaisir à regarder… Bien sûr, cela ne reflète pas la réalité du pays mais une Angleterre aristocrate. Néanmoins, les attitudes, les comportements et les intrigues ont quelque chose de très british que ce soit au sein de la famille Crawley qu’au sein de leurs domestiques. J’adore la grand-mère (Lady Violet) jouée par l’excellente Maggie Smith : elle trouve toujours la réplique parfaite ! Au fil des saisons, je ne me suis jamais lassée de suivre cette famille au fil du temps, à partir du jour où le Titanic a fait naufrage en 1912, jusqu’au 1er janvier 1926. Un petit bémol ? Je n’aime pas le jeu de l’actrice qui tient le rôle de Lady Cora Crawley (la mère) car elle utilise toujours les mêmes postures et les mêmes expressions de visage (au bout de quelques épisodes cela devient un jeu bien monotone, peut-être pour coller au personnage le moins intéressant de la famille ?). Pour la petite histoire, nous n’habitons pas loin du château de Downton Abbey qui se nomme château de Highclere et qui n’est pas du tout dans le Yorkshire comme dit dans la série mais dans le Hampshire où nous vivons. En m’y prenant longtemps à l’avance j’avais obtenu des billets pour le visiter mais nos réservations ont déjà été décalées deux fois à cause du covid… Pour l’instant, nous l’avons donc vu de l’extérieur mais un jour je vous montrerai l’intérieur ! 6 saisons et 52 épisodes (sur Netflix et Amazon).
The Crown (de Peter Morgan) : série qui raconte la vie romancée de Queen Elizabeth II à partir de son accès au trône. Là encore, c’est un plaisir d’écouter les acteurs parler un anglais parfait. De plus, même si tout n’est pas fidèle à la réalité, c’est tout de même un bon résumé des principaux événements qui ont marqué la vie du pays depuis l’après-guerre. Je trouve l’aspect historique très intéressant mais aussi toute l’incursion dans les subtilités des règles suivies par la famille royale. Des règles qui laissent peu de place à l’humain. J’ai une prédilection pour la première saison car on y découvre une Elisabeth pas encore endurcie, touchante même, et l’on apprend en même temps qu’elle les enjeux et contraintes de ce rôle si particulier. Ses dialogues avec Winston Churchill sont captivants. Les saisons suivantes m’ont plu également, même la dernière qui touche au sujet controversé de la vie de Lady D. Il ne faut juste pas oublier que ce n’est qu’une série, pas nécessairement la vérité. De toute façon, comme dans la vraie vie, il y a autant de vérités que de points de vue et de personnes… J’imagine qu’il y aura d’autres saisons car Queen Elizabeth a une longue vie ! Dire qu’elle fêtera ses 70 ans de règne en 2022 ! 4 saisons et 60 épisodes (sur Netflix).
Call the Midwife (de Heidi Thomas) : cette série s’inspire des mémoires de Jennifer Worth, une sage-femme qui exerçait dans les quartiers populaires de l’est londonien à la fin des années 50. Chaque épisode permet de découvrir les terribles conditions de vie dans ce quartier pauvre de Londres. Socialement c’est très intéressant. Un côté Charles Dickens je dirais. On y parle d’ailleurs régulièrement du passé des habitants dans les workhouses (maisons de travail). La série permet aussi d’avoir un bon aperçu des maladies encore très répandues il y a seulement 60 ans ! Cela a le mérite de nous faire réaliser à quels points les progrès ont été incroyables ces dernières années. A part ce contexte médico-social, il y a beaucoup d’accouchements dans cette série ! Au bout d’un moment on est en overdose. Donc je conseille de la regarder de temps en temps, sans enchaîner les épisodes qui finalement sont assez indépendants. Le fil conducteur c’est la vie de ces sages-femmes et religieuses qui travaillent ensemble : on y suit les croyances des unes, les amours des autres et l’amitié inconditionnelle entre elles toutes. Le meilleure rôle selon moi c’est Chummy (rôle joué par l’excellente Miranda Hart) : une grande femme maladroite au cœur encore plus grand qu’elle ! Son accent est superbe et j’adore son humour ! 9 saisons – 73 épisodes (sur Netflix).
Poldark (de Debbie Horsfield) : un peu de romanesque ça ne fait pas de mal de temps en temps ! Surtout quand l’acteur anglais principal ressemble plutôt à un bel italien :-). L’histoire raconte les aventures de la famille Poldark, une famille d’aristocrates qui exploitent les mines de cuivre en Cornouailles à la fin du 18iè siècle mais dont les affaires vont plutôt mal au moment où la série commence. Les acteurs jouent tous très bien et les prises de vue en bord de mer dans cette magnifique région du bout de l’Angleterre rajoute au charme de l’intrigue. Sur un fond de rivalité entre Ross Poldark, humain et proche des mineurs qu’il emploie et George Warleggan, le banquier sans moral (je sais, c’est un euphémisme :-)) c’est avant tout une histoire d’amour qui occupe le devant de la scène… Ou devrais-je plutôt parler de « triangle amoureux » entre Ross, Elizabeth (son amour d’enfance) et Demelza, la jolie rousse qu’il prend sous son aile… Pour la petite histoire, vous savez que nous avons voyagé en Cornouailles l’été dernier. Je n’avais pas encore vu la série au moment de notre roadtrip mais, après coup, je me suis rendue compte que nous étions passés devant les principaux lieux de tournage. Sur la côte, nous avons également pu apercevoir les vestiges, ruines ou débris des anciennes mines. 5 saisons et 43 épisodes (sur Netflix).
The English game (de Julian Fellowes, Tony Charles et Oliver Cotton) : cela va étonner tous ceux qui savent que je déteste le foot et pourtant j’ai beaucoup aimé cette série dont c’est le sujet principal ! Pourquoi ? Parce qu’une fois encore c’est l’aspect historique et social qui m’a captivée. Cette série raconte comment le football professionnel est passé d’un jeu réservé à l’élite anglaise à un sport qui s’est ouvert à tous les milieux. Mais la bataille sociale n’a pas été simple… L’élite ne souhaitant pas perdre ses privilèges et craignant la perte d’image de ce sport si « noble » ; tandis que pour les classes défavorisées c’était justement l’occasion de monter sur un pied d’égalité, de prouver de quoi ils étaient capables, d’obtenir une certaine reconnaissance… Bref, une manière de faire entendre leur voix. Une lutte sociale dans le pays, dans les usines et donc également sur les terrains de foot quand le club de la prestigieuse école de Eton à Londres se retrouve à jouer contre la classe ouvrière. Quand on sait à quel point ce sport est aujourd’hui ancrée dans la culture du pays à tous les étages de la société, the English Game montre la genèse de cette démocratisation et nous immisce au cœur de la working class dans les années 1870. Mini série de 6 épisodes (sur Netflix).
Happy Valley (de Sally Wainwright) dans l’ouest du Yorkshire avec l’excellente Sarah Lancashire dans le rôle de Catherine Cawood, agent de police dédiée nuit et jour à son métier pour traquer les criminels de sa vallée que les difficultés sociales et le trafic de drogue ont transformé en un excellent terroir pour de sombres personnages. Par son travail, elle tente clairement de noyer ses propres soucis et drames familiaux. Un côté Fargo dans la manière de filmer, dans l’ambiance et dans le profil de Catherine mais le style de cette série est clairement anglais. D’ailleurs, les accents sont typiques du Yorkshire et bien dépaysants. J’ai particulièrement aimé les scènes tournées dans l’intimité de l’héroïne, notamment les dialogues sincères et justes entre elle et sa sœur, personnage qui semble un peu paumée mais qui finalement me semble une vraie bouée de sauvetage pour Catherine et son fils. Je précise que ce thriller policier ne donne pas du tout le moral et nous plonge dans les aspects les plus sombres de la société donc je dirais que ce n’est pas une série pour se changer les idées pendant un confinement (je l’ai vu bien avant). 2 saisons – 12 épisodes (sur Netflix). PS : je vous rassure, il existe aussi de très jolis coins bien tranquilles dans le Yorkshire.
Broadchurch de Chris Chibnall : c’est la plus ancienne des séries que je vous présente aujourd’hui. Elle date de 2013 et elle m’avait beaucoup marquée à l’époque pour l’ambiance mystérieuse qu’il y règne. Un petit côté Twin Peaks par moment je trouve. La première saison raconte l’enquête policière autour du meurtre d’un enfant que l’on voit tomber des fameuses falaises de la côte jurassique anglaise. La caméra, les falaises et l’intrigue se lient sournoisement pour nous donner le vertige ! Comme dans tout bon policier, on soupçonne un peu tout le monde, tour à tour, au fil des épisodes ; et les personnes qui vivent dans le village en font autant, jugeant leurs voisins sur la base de préjugés ou d’interprétations douteuses. Le fonctionnement à huis clos de cette communauté finalement pas si soudée est remarquablement illustré au fil de l’histoire. C’est d’ailleurs cette mécanique humaine entre les habitants, ainsi que l’atmosphère et la tension du scenario qui m’ont plu, plutôt que le dénouement (la saison 2 se concentre sur le procès tandis que la saison 3 se passe quelques années plus tard…). Quant à ces magnifiques falaises, elles se trouvent à West Bay. Nous sommes allés les voir lors de notre grand week-end dans le Dorset. Encore un endroit de rêve qu’il faudra que vous veniez découvrir dans le sud de l’Angleterre ! 3 saisons – 24 épisodes.
The end of the F***ing world (de Charlie Covell) : James et Alyssa sont deux adolescents déboussolés dont les émotions semblent avoir quitté leur existence à force de baigner dans de douloureux climats familiaux. Deux adolescents au vocabulaire si pauvre que bonne nouvelle, vous devriez réussir à suivre tous les dialogues où F*** est le mot central de la plupart des phrases ! (Shakespeare doit se retourner dans sa tombe !). Les deux anti-héros partent sur les routes et c’est alors que commence un roadtrip aux faux airs de Bonnie and Clyde (saison 1) ou de Twin Peaks (saison 2), dans une sombre ambiance de thriller social britannique avec une esthétique visuelle et musicale qui nous plonge dans un espace-temps assez indéfini. James se pense psychopathe mais le destin va montrer à nos deux oubliés de la société à quoi ressemble un véritable psychopathe. Au fil des dialogues laconiques, au fil des images minimalistes teintées d’une ambiance de fin du monde, je me suis attachée à ces deux jeunes à la dérive et je trouve que la série aborde avec plus de sérieux qu’il n’y paraît des sujets sensibles comme la confiance en soi, la construction de la personnalité et surtout les ravages que peuvent avoir sur un enfant (car oui, finalement ils ne sont encore que des enfants qui n’ont pas eu d’enfance) le manque de repères et surtout le manque d’amour des parents. Les deux acteurs sont excellents car avec peu de mots, ils savent nous exprimer leur désespoir à travers leurs mouvements maladroits, leurs regards vides et parfois leurs lueurs d’espoir. Dans la seconde saison, nos deux Anglais arrivent au Pays de Galles où vous pourrez apprécier la beauté des forêts. J’ai moins aimé l’intrigue de cette deuxième saison mais entre les décors et le dénouement final de l’histoire je trouve qu’elle valait le coup. 2 saisons – 16 épisodes (sur Netflix).
Sex Education (de Laurie Nunn) : voici une série dont j’ai détesté le premier épisode mais je suis ravie d’avoir continué car dès le deuxième épisode j’ai accroché et j’ai globalement trouvé que cette série allait crescendo avec des acteurs vraiment très doués et hauts en couleurs. Donc, au début, on peut avoir l’impression d’un show un peu grotesque à l’humour plutôt lourd mais très vite on se rend compte que les personnages s’étoffent et que ce qui ressemblait à des tranches de vie un peu fantaisistes de lycéens à l’âge bien bête raconte finalement des histoires bien plus touchantes en abordant de vrais sujets et problèmes relationnels. La série est donc une comédie certes exagérée mais sincère et sensible. Le héros, Otis est un ado particulièrement touchant dont on apprécie la douceur et la sensibilité face aux problèmes de ses camarades de classe. Pour lui, il n’est pas simple d’être le fils d’une sexologue mais il va tourner la chose à son avantage. Sa mère (l’excellente Gillian Anderson) illumine la série dans son rôle de « femme libérée » si confiante en elle dans sa maison (quelle maison !!!) où elle règne telle une menthe religieuse en quête de sa prochaine proie. Mon coup de cœur ? C’est l’actrice Emma Mackey qui joue le rôle de Maeva, la meilleure amie et/ou associée d’Otis au lycée dont on découvre peu à peu le passé. En plus vous savez quoi ? Elle est franco-britannique, originaire du Mans. Un bémol concernant la série ? Son américanisation artificielle. Les épisodes ont été tournés au Pays de Galles (dans une sublime vallée verdoyante) avec des acteurs britanniques qui ont un fort accent anglais mais l’école ressemble plutôt à une High School américaine et les lycéens ont un look vestimentaire des US. L’humour et les dialogues sont parfois plus américains qu’anglais je trouve. Un peu déroutant parfois mais il paraît que c’est voulu car la confusion géographique sert l’universalité des sujets abordés… Maybe… En tout cas, j’espère que personne n’aura l’idée d’aller aux US pour voir les magnifiques paysages filmés dans la série :-).
Fleabag : un peu d’humour, même caustique, ça fait du bien. A l’origine Fleabag est un one-woman show de la comédienne Phoebe Waller Bridge. Suite au succès de son spectacle à Londres, elle a créé la série du même nom. Dans chaque épisode, Phoebe interrompt chaque scène pour nous parler à nous, les spectateurs, et nous débriefer de ce qu’elle pense réellement. Là est toute l’originalité de ce show : nous pouvons suivre les confidences intimes de cette grande célibataire dont nous partageons les rencontres d’un soir, les relations foireuses et les moments en famille. Les monologues de Phoebe sont souvent drôles et décalés. Une comédienne qui nous change les idées ! Et pour le coup, je préfère la série que le one-woman show que j’étais allée voir l’an dernier. 2 saisons – 12 épisodes (sur Amazon Prime)
Et les autres séries anglaises ?
Mention spéciale pour :
Black Mirror (de Charlie Brooker) : Je n’ai pas mis Black Mirror dans ma sélection car même s’il s’agit d’une création anglaise de grande qualité, c’est avant tout de la science fiction qui n’a pas forcément un ancrage géographique et dont le but principal est de nous faire réfléchir sur les technologies d’aujourd’hui, de demain, à leurs limites et à leurs dérives potentielles. A noter tout de même que les premiers épisodes, qui ne sont pas nécessairement ceux qui ont eu le plus gros succès étaient clairement plus anglais. Puis, la série est passée chez Netflix et les décors sont devenus bien plus américains, même si finalement le lieu n’a pas vraiment d’importance. Citons tout de même un épisode très anglais : « The National Anthem » (épisode 1 de la saison 1) qui nous parle du Premier Ministre et de l’horrible mission qu’il doit accomplir pour aider la famille royale… Une série dérangeante que je n’ai réussi à regarder qu’au compte goutte car chaque épisode me traumatise pendant des semaines ! Finalement, c’est peut-être la noirceur du miroir dans lequel il nous est donné de contempler notre avenir qui a quelque chose de résolument britannique… (sur Netflix).
Ted Lasso (de Bill Lawrence, Jason Sudeikis, Brendan Hunt et Joe Kelly) : il s’agit d’une série américaine mais elle se déroule en Angleterre et nous parle avec humour des différences culturelles entre les US et le UK. L’histoire : Ted Lasso, coach de foot américain est embauché par le club de foot (« vrai » foot :-)) de Richmond, au sud de Londres pour gérer une équipe incompétente alors qu’il ne connaît même pas ce sport ! De nombreux acteurs sont anglais donc on jongle avec plaisir entre la langue version américaine et la version anglaise. C’est très cliché et pas toujours bien fin mais vraiment ça donne le sourire et il y a du vrai dans cette comparaison culturelle. Au fil des épisodes, on s’attache à Ted, à son adorable optimisme et à son énergie pleine de bonnes intentions. Oui, c’est un peu naïf et caricatural mais si plus de managers lui ressemblaient, il y aurait un meilleur esprit dans pas mal d’équipes ! Les bons sentiments à l’américaine quoi ! Comme j’ai vécu dans les deux pays, c’était particulièrement parlant pour moi. Ted n’était pas sans me rappeler les deux adorables managers pour lesquels j’avais travaillé aux US. Bref, on passe un bon moment, ce qui n’est pas négligeable dernièrement ! 1 saison – 10 épisodes. Sans doute une suite (sur Apple TV).
J’ai testé et je n’ai pas accroché :
J’ai testé et je n’ai pas accroché avec ces autres séries anglaises dont je n’ai vu qu’un épisode (si je dois insister, n’hésitez pas à me convaincre en commentaires) : Peaky Blinders, Sherlock Holmes, Bodyguard, Agata Raisin, The Tudors, Line of duty,… Aussi, j’ai vu la série Killing Eve en entier (ça se laisse bien regarder quand même car les deux actrices principales sont tops !) mais cela m’a laissée perplexe et je n’ai pas du tout aimé la fin. Enfin, récemment, j’ai suivi la saison 1 de The Fall (un thriller policier d’Allan Cubitt) mais je n’ai pas été convaincue malgré la présence de l’excellente Gillian Anderson.
A tester prochainement ?
Parmi les séries anglaises actuelles ou récentes, je ne connais pas encore : Luther, Doctor Foster, Marcella, Safe, After Life, Jane Eyre, Detectorist, Miranda, Top Boy, Misfits, The Tunnel, All Creatures Great and Small, Years and years, Utopia (version 2013)… En conseillez-vous dans le lot ?
Les séries anglaises plus anciennes :
Et je ne connais pas les séries plus anciennes car n’ayant jamais eu de télé (à part l’année où je vivais aux US), je n’ai regardé, par le passé, que très peu de séries. C’est depuis nos abonnements à des plateformes que nous découvrons davantage de séries (que nous visionnons sur ordinateur). Parmi les séries plus anciennes, je ne connais donc pas Coupling (copie anglaise de Friends), Absolutely Fabulous, Pride and Prejudice (version séries de 1995), les nombreux épisodes de Hercule Poirot (de 1989 à 2013), ni les grandes séries fleuves comme East Enders (7 832 épisodes) ou Coronation Street (10 139 épisodes !). Des conseils de rattrapage obligatoire ?
D’ailleurs, en série culte des années 70, il y a le célèbre Monty Python’s Flying Circus que « Papa Voyage » adore et moi pas du tout mais au cas où il lirait mon article, il m’en voudrait de ne pas avoir mentionné cette référence incontournable de l’humour anglais ! Or vous savez comme la paix des ménages est précieuse en ces temps de confinement :-).
Séries anglaises pour les enfants :
Pour les plus jeunes, il y a Peppa Pig ou encore Ben & Holly’s Little Kingdom qui sont deux séries bien gentilles, dans un anglais parfait. Donc n’hésitez pas, de temps à autre, à faire écouter ces dessins animés très courts (5 minutes) à vos futurs petits bilingues ! Pour apprendre l’anglais, plus on commence tôt, plus c’est facile ! (sur Netflix).
Pour les enfants plus grands, justement pour Ticoeur et Titpuce, je trouve hélas qu’il n’y a pas d’offre intéressante en terme de séries anglaises. Citons tout de même Horrible Histories qui est populaire ici et qui, comme dit Ticoeur, a au moins le mérite de leur apprendre un peu d’histoire britannique même si la réalisation n’est pas de notre goût… (sur Netflix).
Et vous ? Quelles sont vos séries anglaises préférées ?