Maman Voyage
Plus de 100 voyages avec enfants et un tour du monde
Reprendre le travail après 6 mois avec Ticoeur c’est : – De la fatigue !!!! J’ai jamais été autant fatiguée qu’après ces deux jours de boulot ! Heureusement que j’avais choisi de reprendre un jeudi, je n’aurais jamais tenu 5 jours de suite ! C’est simple, j’avais l’impression de subir un énorme décalage horaire comme si je revenais tout droit du Japon. J’étais dans un semi-coma, fatiguée certainement par les nuits avec réveils-tétées mais aussi par le rythme au bureau : mails, réunions, dossiers urgents, nouvelles têtes dans l’équipe, systèmes d’info en plein changement… Bref, un vrai tourbillon d’information et d’activité.… —— Lire la suite ——
Demain matin, c’est le Grand Jour : retour au boulot ! Misère, misère… Je suis dans un état de stress ! Un peu comme lorsqu’il y a de grosses perturbations pendant un vol en avion… J’aime pas l’avion… J’aime pas la fin du congé parental !!!! Au lieu de m’apitoyer sur mon sort… Quoique… ça me ferait du bien… Non, allez, faut que je sois courageuse… Comme lorsqu’enfant, je décidais de monter sur le grand plongeoir de la piscine et que finalement, arrivée au bout de la planche, c’était la panique, la peur du vide, la peur de la chute mais l’impossibilité de revenir en arrière… Voilà, je suis sur le plongeoir….… —— Lire la suite ——
Toutes les bonnes choses ont une fin et c’est à reculons que je vais retourner au boulot et laisser mon Ticoeur après avoir profité à plein temps des 6 premiers mois de sa petite vie. A l’heure du bilan, que dire de mon congé parental ? – Le sentiment d’avoir vraiment profité : j’ai adoré pouvoir suivre les progrès de Ticoeur jour après jour pendant ces 6 mois, sans manquer un seul moment de tendresse, de sourires, de rires mais aussi de larmes et de petits chagrins (que je ne comprends pas toujours ;-)) . J’ai adoré être présente pour le voir découvrir le monde, avoir eu l’impression de ne rien rater, de profiter de chaque instant : observer ses yeux qui s’éveillent, ses petites mains qui tâtonnent, ses bras qui s’agitent mais surtout le faire rire et me balader avec lui pour commencer à lui montrer le monde… Bien sûr, tout cela va continuer, y a une vie après le congé parental (euh, enfin, j’espère ;-))… Mais c’était une chance de vivre cette expérience à 100% – ça passe trop vite : certaines copines m’avaient dit « tu verras, au bout d’un certain temps tu seras contente d’abandonner un peu tes journées tétées, couches & co et tu apprécieras de retourner bosser »… Ben… comment dire… Non, pas du tout !… —— Lire la suite ——
Il était moins une ! Je reprends le travail le 1er avril et après quasi deux mois de recherche je désespérais de trouver la perle rare… Mais comme je disais dans mon précédent post, nous avons signé la veille de nos vacances avec « Sissi », une nounou qui a réussi un sans faute à l’épreuve de l’interrogatoire, qui nous a fait une super bonne impression, qui a fait sourire les enfants, qui a d’excellentes références, et qui en plus parle anglais (ce n’était pas un critère de sélection mais why not ?). Bref, rien à dire, enfin presque… oui, parce que tout ne peut pas être totalement parfait… le seul petit hic c’est que « Sissi » habite à 45 minutes de chez nous et qu’elle a des enfants en bas âge donc on prend quand même le risque qu’elle nous quitte pour une famille qui habiterait plus près de chez elle… On lui a bien mis la pression sur le sujet d’ailleurs… Nous voilà donc embarqués dans la périlleuse aventure de la garde partagée.… —— Lire la suite ——
Serait-ce l’Arlésienne ? Je me demande ! Car après cinq semaines de recherche, une vingtaine de coups de fil et une bonne dizaine d’entretiens, nous n’avons toujours pas trouvé la perle ! Tout avait pourtant bien commencé car nous avons tout de suite trouvé la famille pour la garde partagée mais côté nounou, c’est plus compliqué. Voici les différents profils auxquels nous avons eu à faire : – la nounou « experte » qui croit tout savoir et vous prend de haut car vous n’êtes qu’une jeune mère sans expérience alors qu’elle, elle a élevé des dizaines d’ enfants. Du coup, quand vous lui demandez ce qu’elle ferait face à un problème (par exemple, si l’enfant ne veut pas dormir ou manger, ou s’il pleure) et bien elle vous répond tout simplement qu’avec elle c’est impossible car ELLE, elle sait y faire : « y a pas p’roblème ! … —— Lire la suite ——